LIRE : Cantique des Cantiques 5:2-8

J’ai ouvert à mon bien-aimé; Mais mon bien-aimé s’en était allé, il avait disparu. J’étais hors de moi, quand il me parlait. Je l’ai cherché, et je ne l’ai point trouvé; Je l’ai appelé, et il ne m’a point répondu. :- Cantique des Cantiques 5:6

Le retrait est un réflexe qui se produit très naturellement. Dans le passage ci-dessus, nous voyons des bien-aimés faire des gestes d’ouverture l’un envers l’autre. Cependant, l’un d’eux semblait réticent à répondre à l’amour. Lorsqu’il l’a finalement fait, son amant était parti. Retiré ! Éloigné !

En effet, c’est l’histoire de l’amour repoussé et de l’amour blessé. De petites choses peuvent blesser les amoureux. C’est parce qu’il y a eu un grand amour qu’il y a une grande souffrance. Les choses lointaines ne vous font pas de mal, mais les choses vraiment proches de votre cœur sont blessantes.

La réticence, les retards et le désintérêt apparent à exprimer l’amour ont provoqué le retrait. Le retrait est la première étape de l’offense et peut être plus facilement surmonté que les autres étapes.

L’offense vous pousse naturellement à vous retirer de ce qui vous blesse ou vous frappe. Iriez-vous vers un bâton qui vous frappe ou vous en retireriez-vous ? C’est un réflexe naturel de se retirer du coup offensant.

Les personnes offensées sont toujours en retrait. Faites attention à ce signe très important d’offense. C’est le début de grandes eaux qui coulent contre vous. Le retrait est le début d’un grand déluge contre la personne offensée.

Vous ne pouvez pas imaginer ce qui sortira de la personne offensée. Le retrait peut se produire de plusieurs manières. Le retrait se produit essentiellement lorsqu’une personne se retire d’une relation. Plus la relation est importante et étroite, plus les implications du retrait sont graves.